exemple 6

exemple 5
15 juin 2016
exemple 7
15 juin 2016

exemple 6

DES FOIS, VOTRE AVOCAT A RAISON.

Cette histoire est triste. Un de mes clients était désespéré et avait besoin d’argent pour son entreprise. Cet individu avait environ 65 ans et avait investi tous ses avoirs dans son entreprise. Il trouva quelqu’un disposé à investir 150 000 $ dans la compagnie en échange de la moitié de l’entreprise. J’ai cru qu’il s’agissait d’une transaction désastreuse. J’ai rencontré le partenaire potentiel. J’avais eu un rapport de crédit sur lui… mauvais mauvais, mauvais… Pour en mettre encore plus, il insistait pour acheter de nouvelles actions de la compagnie, donc, cela ne donnait pas un sous à mon client. Dans la Convention unanime des actionnaires, le nouveau partenaire insistait également pour avoir une clause « Shotgun », ce qui signifie qu’un partenaire peut obliger l’autre à lui vendre ses parts à un prix déterminé. Ça sentait mauvais… Néanmoins, la transaction fut conclue à la fin novembre. Je terminais à peine de fermer le dossier quand j’ai reçu un avis de déclenchement de la clause « Shotgun », au prix de 150 000 $. Mon client a donc perdu son entreprise, qui valait environ 400 000 $ et n’a reçu que 150 000 $ en échange.